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  • : Blog d'informations et de communications du Syndicat CGT du Centre Hospitalier Public du Cotentin (sites de Cherbourg -Octeville et de Valognes, département de la Manche)
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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 10:17

Déclaration de la Cgt

 

Pour augmenter le taux d’emploi et réduire la pauvreté,

il faut plus qu’un revenu de solidarité active

 

Le Président de la République a annoncé la généralisation du RSA. Les revenus du patrimoine et de placement seraient prélevés à hauteur de 1,1%.

 

La CGT partage les principes fondateurs du RSA : chacune, chacun doit pouvoir vivre dignement de son travail, chaque heure de travail doit être rémunératrice, réduire le nombre de travailleurs pauvres et lutter contre la précarité et l’exclusion.

La CGT considère que cette mesure ne sera pas la grande avancée sociale promise par ce gouvernement. Pour avoir des droits il faudra les mériter !

 

Le RSA viserait à «  récompenser » uniquement celles et ceux qui reprendront une activité rémunérée. « L’obligation de rechercher un emploi » se substitue à « l’incitation financière à reprendre un travail ». C’est la logique du seul mérite.

 

Aucune mesure pour la jeunesse, pour  les moins de 25 ans ! Aucune mesure n’est prévue pour les millions de personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté et pour qui les conditions du retour à l’emploi ne seront pas réunies. !

 

L’autre critique majeure de ce projet gouvernemental, réside dans l’effet d’aubaine pour une partie du patronat, d’accentuer une  politique de trappe à bas salaire et de précarisation de l’emploi.

Quand au financement de cette « politique de solidarité » elle va peser essentiellement  sur l’assurance vie, souscrite par  12 millions de français.

Ainsi, la mesure choc du gouvernement se résume encore et toujours par des sacrifices supplémentaires pour le monde du travail qui est appelé à financer la lutte contre la pauvreté.

A cela, rappelons que l’assise du financement des minima sociaux fondé essentiellement sur la solidarité nationale est remise en cause et déporté sur la fiscalité locale.

 

C’est bien la France de ceux qui se  lèvent tôt, le monde du travail, les retraités qui vont   soutenir par leur épargne la France de la précarité et de l’exclusion.

Derrière l’affichage, il y a bien de la démagogie.

Car, simultanément à cette annonce, le Ministre du Budget fait un geste en direction des entreprises pour réduire leurs impôts tandis que le Ministre de la Santé présente un décret visant la suppression de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire, pour les personnes défavorisées n’ayant pas de médecin traitant.

Pendant ce temps les plus riches sont épargnés et continuent de profiter des exonérations et déductions fiscales et  du paquet fiscal de 15 milliards de l’été dernier.

La lutte contre la pauvreté et l’exclusion appelle une politique qui cesse de favoriser les plus riches, qui cesse d’accroître les exonérations de cotisations sociales inefficaces pour l’emploi, le développement économique, les salaires et la protection sociale.

 

Montreuil, le 29 août 2008

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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 10:10

Communiqué de Presse


700 organisations et 90 000 personnes à ce jour

dénoncent EDVIGE, un fichier liberticide et

annoncent une conférence de presse le 9 septembre

12 associations et organisations syndicales (AIDES, la CFDT; la CGT; le Collectif contre  l'Homophobie et pour l'égalité des droits, la Fédération nationale de l'Autre Cercle ; la FSU ; l'Inter-LGBT, IRIS ; la Ligue des Droits de l'Homme, le Syndicat des Avocats de France, le Syndicat de la Magistrature, l'Union Syndicale Solidaires) déposent ce jour un recours au

Conseil d'Etat contre le décret du 27 juin 2008 portant création d'un traitement automatisé de données à caractère personnel dénommé « EDVIGE ».

Elles entendent ainsi dénoncer un fichier qui, loin de n'être que la réactualisation du décret du 14 octobre 1991 relatif aux fichiers gérés par les services des renseignements généraux, aggrave considérablement l'atteinte aux libertés en permettant le fichage des individus dès

13 ans, la mise en fiches de données dites sensibles comme les origines « raciales » ou ethniques ou qui sont relatives à la santé ou à la vie sexuelle des personnes. De manière plus générale, le fichier EDVIGE confond les missions des renseignements généraux et celles des services de police en amalgamant des finalités fort différentes.

Réunies en Collectif « Non à EDVIGE », près de 700 organisations et associations et près de 90 000 personnes ont signé la pétition en ligne « Pour obtenir l'abandon d'EDVIGE »

http://www.nonaedvige.ras.eu.org  

et, pour certaines d'entre-elles, se sont engagées dans des actions de signatures de la pétition par les citoyens sur la voie publique.

Après la réunion du Collectif le 28 août, il a été décidé d'organiser

une conférence de presse publique le 9 septembre prochain  à 11 heures à la Bourse du travail salle Croizat.

Y sera développé le point de vue des associations de défense des droits humains et des libertés, des associations LGBT, des organisations de défense des droits des mineurs, des associations de défense des malades, des organisations syndicales et des citoyens mobilisés contre un tel projet.

Les différentes actions envisagées contre ce fichier liberticide seront dévoilées à cette occasion.

Fait à Paris, le 29 août 2008

Contact presse : contact@nonaedvige.ras.eu.org

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1 septembre 2008 1 01 /09 /septembre /2008 10:15

AIDE AU COÛT DES TRANSPORTS TRAJET DOMICILE/TRAVAIL
LETTRE DE LA CGT A François FILLON


Monsieur François FILLON
Premier Ministre

Hôtel Matignon

57, rue de Varenne

75700 PARIS

Montreuil, le 27 août 2008

Monsieur le Premier Ministre,

 

Vous nous avez interpellé par courrier en date du 17 juin, nous annonçant que vous envisagiez un dispositif pour inscrire une aide directe sur la fiche de paie des salariés et financée par l’employeur afin de venir en aide eu égard à l’augmentation des coûts du trajet domicile/travail. Vous placiez votre réflexion dans le contexte durable de croissance des coûts de l’énergie et vous nous demandiez de vous faire parvenir nos « préconisations » sur le principe à retenir.

Dans un précédent courrier adressé fin juillet, nous vous avons fait part de nos remarques plus générales sur l’incidence de cette augmentation sur l’ensemble du budget des salarié(e)s actifs et retraités qui pose inévitablement la question des salaires.

Sur la question précise du coût du trajet domicile travail :

La CGT a toujours revendiqué qu’il soit pris en charge par l’employeur. La récente prise de position (24 août 2006) de Madame Parisot, Présidente du MEDEF, nous conduit à compléter dès à présent notre réponse à votre courrier.

En effet, une fois de plus, le MEDEF se dédouane de ses responsabilités sur la collectivité et en l’occurrence sur l’Etat, rejetant tout principe de contribution des entreprises.

Nous pensons qu’elle appelle le gouvernement et plus largement le législateur à prendre ses responsabilités. Nous confirmons notre revendication et considérons qu’il vous appartient alors de légiférer sur le caractère obligatoire d’une telle mesure, afin de garantir la mise en œuvre de négociations sur les modalités dans les entreprises.

Partant de ce constat, nous vous livrons les grandes lignes de nos propositions. La CGT souhaite attirer l’attention sur une éventuelle mesure soit éphémère et médiatique, soit financée par aide systématique de l’Etat, autrement dit par la fiscalité dont on sait qu’elle repose majoritairement sur les citoyens ; ce serait alors une sorte de « pirouette » où les salariés s’autofinanceraient.

Le financement doit bien reposer sur l’employeur et indépendamment du salaire.

Dans le contexte actuel deux cas de figure sont à examiner selon nous.

1/ De nombreux salariés et pour de multiples raisons (absence de réseau, flexibilité des horaires de leur travail imposée par l’employeur…) n’ont pas la possibilité d’utiliser les transports collectifs. Il est pour eux nécessaire qu’une prise en charge, lorsque cette situation est avérée, soit effectuée sur le coût d’utilisation d’un véhicule moyen avec comme base le barème fiscal, y compris en tenant compte des distances. Le chèque Transport aurait pu y répondre si, comme nous l’avions souligné au moment de sa mise en œuvre, il avait eu un caractère obligatoire. En cette absence, il était voué à l’échec.

2/ Il faut inciter à l’usage des transports collectifs publics, améliorer leur accessibilité et les développer. Ce qui suppose aussi de penser autant que faire se peut, l’organisation du travail et les horaires en lien avec le fonctionnement des réseaux de transports là où ils existent ou se mettent en œuvre. Cela doit aussi responsabiliser socialement les entreprises sur les territoires.

 

La CGT considère qu’il faut généraliser le système carte orange existant en Ile de France avec prise en charge totale par l’employeur et remboursement du titre de transport sur la fiche de paie.

Cela suppose à terme, la mise en place d’une gouvernance coordonnée au niveau régional pour l’ensemble des transports collectifs dont la responsabilité incombe à différentes autorités organisatrices (Etat, ville, communauté, département, région).

Cette disposition, prévue d’ailleurs par la Loi Solidarité Renouvellement Urbain de 2001, est indispensable pour enfin pouvoir mettre en place un seul titre de transport financé par l’employeur et qui permette le trajet de bout en bout (utilisation successive de Bus, tram, trains…). Elle n’a jamais été mise en œuvre.

Votre gouvernement qui se prévaut du dialogue social n’a pas repris cette disposition dans son projet de loi « Grenelle de l’environnement », alors qu’elle fait l’objet d’un point de proposition validé en négociation.

Pour la CGT, les conditions doivent être créées pour que tous les salariés quelque soit la taille de leur entreprise disposent de la prise en charge du coût du trajet domicile travail par l’employeur.

Nous voyons dans cette disposition de gouvernance nécessaire un autre avantage : celui de pouvoir organiser une solidarité entre les entreprises qui peuvent largement financer et celles, PME, TPE, artisanales plus contraintes mais créatrices d’emplois dans les territoires et souvent sous la pression de donneurs d’ordres qui sous traitent au moindre coût (système de péréquation). Il est de même pour le secteur de l’économie sociale. Cette solidarité permettant une égalité de traitement des salariés qui doivent tous bénéficier de cette prise en charge.

Ainsi le syndicat mixte pourrait être le lieu de recouvrement de financements par les entreprises très solvables via un versement transport généralisé d’une part, prenant en compte la solidarité sur le trajet domicile/travail d’autre part. Il pourrait être également le gestionnaire du reversement de l’aide aux entreprises qui le nécessitent et l’émetteur du coupon de transport à destination de tous les salariés de manière pérenne.

Ainsi architecturé et structuré, le système serait propice à développer les transports collectifs, source de garantie de prise en charge du domicile/travail par l’employeur et véritablement financé par ce dernier. Il protègerait les salariés de toute inflation des prix du transport collectif dont on sait bien que les employeurs ne manqueraient pas d’oublier de la traduire dans la revalorisation régulière d’une aide sur la fiche de paie, rendue alors rapidement éphémère. Il protègerait aussi les salariés de la tentation des employeurs à incorporer les « aides sur la fiche de paie » dans la Négociation Annuelle Obligatoire sur les salaires, qu’ils ne respectent déjà souvent pas, sachant que ces aides leur permettent de s’affranchir des cotisations sociales avec les conséquences sur les régimes maladie et retraite. Il permettrait de responsabiliser les grandes entreprises et les grands groupes sur les territoires comme, là encore, la négociation du Grenelle de l’environnement le propose.

La CGT avait, en septembre 2006, détaillé ces propositions dans la concertation intervenue dans le cadre du cheque transport, propositions réitérées dans les amendements que nous avions sollicité au projet de loi d’alors. Force est d’ailleurs de se rappeler que c’est le même MEDEF qui à l’époque s’est opposé à une évolution qui contraindrait les entreprises. Elles sont relativement simples de mise en œuvre et répondent d’un choix de politique publique du gouvernement, rien n’empêche une mesure immédiate inscrite dans la perspective plus structurée du dispositif.

Nous souhaitons des modalités durables de nature à en faire un véritable acquis social. Il y a urgence à concrétiser, indépendamment de la même urgence à augmenter les salaires et retraites afin que les salariés puissent faire face dans leur vie quotidienne aux conséquences de l’augmentation des prix de l’énergie : alimentation, logement et chauffage, accessibilité et déplacements pour les loisirs, les vacances et les activités sportives et culturelles, autant de droits qu’il faut également reconnaître…

Nous vous demandons donc expressément d’engager une disposition sur ces bases avec un caractère obligatoire inaliénable, ouvrant la porte à un processus de négociation sur les dispositions d’application par entreprises pour lequel nous serons disposés.

Restant à votre disposition, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de notre très haute considération.

 

 

 

 

Alain GUINOT

Secrétaire confédéral

 

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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 11:02

Flambée des prix des carburants :

répondre à l’urgence !

 

1,50 € le litre de 95 sans plomb, bientôt 1,50 € le gasoil de base !

Désormais, faire un plein nous met tous à sec !

 

Le pouvoir d’achat baisse, les salaires, les pensions de retraite, l’Assedic et les minima sociaux réduits à la portion congrue, nous imposent de rogner sur notre minimum vital ! Nous

sommes tous pénalisés par les conséquences désastreuses de la hausse du coût des carburants.

Condamnés à prendre notre véhicule quotidiennement faute de moyens de transport appropriés.

Des pans entiers de l’industrie et leurs salariés sont touchés. Tous, nous payons une politique irresponsable et la spéculation faite sur notre vie quotidienne. Ainsi, une personne qui fait 50 km/jour avec un véhicule consommant 7 à 8 litres au 100 km dépense environ 240 € /mois.

 














La CGT porte six propositions immédiates pour faire face à l’urgence !

Dans le cadre prioritaire et plus large du problème du pouvoir d’achat des Français, la CGT exige la mise en oeuvre, à court terme, des mesures suivantes :

1) les augmentations de salaires doivent tenir compte de la hausse réelle du coût de la vie, donc de l’augmentation des prix du carburant et du gaz. L’État qui fixe les prix de l’électricité

et du gaz doit être garant d’un juste équilibre tarifaire s’appuyant sur l’indépendance énergétique et les équipements Edf.

2) la mise en place d’une aide immédiate et directe, inscrite sur la feuille de paie, permettant la prise en compte de la réalité des frais de transports domicile/travail.

3) révision de la fiscalité sur les produits pétroliers en harmonisant la réduction de la Tva au niveau européen, en retirant de la base de calcul de la Tva, la Tipp (partie fixe du prélèvement).

4) mise à contribution de ceux qui profitent de la flambée des prix (compagnies pétrolières, financiers, spéculateurs...).

5) un ajustement immédiat des indemnités destinées aux salariés (secteur privé/public/état) utilisant professionnellement leur véhicule et remboursés forfaitairement au km parcouru.

6) réouverture des négociations salariales dans les entreprises, les groupes et les branches professionnelles.

 

Parallèlement, il faut trois initiatives politiques fortes :

1) la mobilisation des États membres pour mettre fin à la guerre en Irak,

2) la participation active de la France à la conférence internationale rassemblant les pays producteurs et consommateurs,

3) l’impulsion, par notre pays, des initiatives pour réguler les opérations portant sur les produits dérivés (alimentaires).

 

 

Pourquoi cette flambée des prix ?

Le coût des matières premières est fixé en fonction de la capacité de l’offre et de l’évolution de la demande. S’agissant du pétrole, de nombreux facteurs influent sur le prix :

Ø      gestion des ressources mondiales,

Ø      manque d’investissements consacrés à l’exploration, le raffinage ou l’extraction de cette énergie non renouvelable (estimation des réserves = cinquante ans de consommation),

Ø      comportements stratégiques des pays producteurs.

 

Tous ces facteurs entraînent, certes, une hausse des prix, mais sur le long terme, cela  n’explique en rien la flambée actuelle à la pompe !

 

Si les pays émergents marqués pour leur développement économique rapide (10 % par an en Chine) génèrent une demande supplémentaire sur les matières premières et les produits alimentaires. Cependant, n’oublions pas que 2/3 des ressources énergétiques sont accaparées par seulement onze pays les plus industrialisés !

 

C’est tout « bénef », mais pour qui ?

 

Depuis la fameuse crise financière aux Etats-Unis (dite des subprimes), les produits financiers liés aux contrats sur les matières premières et les produits alimentaires (produits dérivés)

se multiplient car les capitaux financiers cherchent de nouveaux supports. La spirale spéculative s’emballe générant des hypers profits pour quelques-uns et la misère pour tous

les autres.

 

C’est la ruée des banques, des fonds d’investissement et des spéculateurs de tout genre sur le cours des matières premières et des produits alimentaires (pétrole, uranium, blé,

coton...).

 

Sur le pétrole, des produits financiers sont créés appelés « pétrole papier ». Ils engagent acheteur et client sur une quantité et un tarif pendant une période donnée. Libre à

l’acheteur de revendre son « pétrole papier » avant terme, anticipant la hausse. C’est ainsi que s’échangerait désormais sur le marché plus de 36 fois le volume réel des échanges de

barils.

 

Les États comme la France, via la fiscalité des produits pétroliers, ne sont pas en reste, et empochent des dividendes conséquents (60 % de taxes sur le litre d’essence).

 

Quant aux multinationales, elles continuent d’exploiter la main d’oeuvre qui produit les richesses mais la laisse pour compte au mépris du respect de leurs droits fondamentaux.

 

Tous ces intervenants s’y retrouvent ! Compagnies pétrolières en tête, dont les profits déjà élevés, augmentent encore...

 

Le gouvernement gesticule…

 

Les trois mesures proposées par le gouvernement ne font pas le compte…

 

création d’un fonds pour atténuer les effets de la hausse des carburants sur certaines catégories d’usagers.

Nous savons, qu’alimenté par le surplus de fiscalité indirecte (donc par les contribuables), il sera, dans le meilleur des cas, doté des quelques centaines de millions d’euros qui sont déjà alloués au financement du plan de stabilisation des revenus des marins pêcheurs !

 

➠ réduction de la Tva des carburants adressée à la commission de Bruxelles.

Cette mesure incontournable nécessite l’accord unanime des 27 états membres de l’Union européenne. Cette taxe, par nature injuste, s’impose à tous quelles que soient les capacités contributives de chacun. La présidence française doit donc être l’occasion de poser et de porter cette mesure,

 

➠ aide directe avancée par François Fillon :

l’État se dédouane en reportant la responsabilité sur les partenaires sociaux. Cette mesure, au contour imprécis, renforcerait les inégalités au niveau des retraités et des privés d’emploi.

 

Il y a urgence à préparer demain… et passer aux actes.

 

Ø      Se donner les moyens financiers réels de conduire un programme national performant énergétique pour les logements, les transports… seul susceptible de faire la différence et d’abaisser la facture pour les générations à venir,

 

Ø      accroître l’investissement pour améliorer les capacités de raffinage,

 

Ø      mettre en oeuvre une politique énergétique et industrielle

 

Ø      commune, réaliser les investissements nécessaires et contenir la spéculation avec notamment l’objectif de conforter l’indépendance énergétique du continent,

 

Ø      travailler sur les projets de coopération qui prennent en compte pays producteurs et consommateurs et la nécessité d’y promouvoir les droits sociaux.

 

Montreuil, 23 juin 2008

 

 

Je porte les six propositions de la CGT

Face à la flambée des prix des carburants, il faut exiger des mesures immédiates pour  augmenter les salaires et libérer le pouvoir d’achat.

NOM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Courriel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Signature :

 

À renvoyer à : La CGT - Coordination des activités confédérales - Activité Luttes - Case 4-1 - 263 rue de Paris - 93516 Montreuil cedex

 

www.cgt.fr

 

http://www.cgt.fr

info@cgt.fr

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